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Notre planète regorge de merveilles. Cette planète, l’Univers tout entier nous l’envie ; elle a été le théâtre d’une extraordinaire évolution de la Vie. Notre planète ne demande qu’à être admirée si nous savons la regarder sous le bon angle.

Connaissons-nous vraiment le monde dans lequel nous vivons ? Pierre Choderlos de Laclos a dit : « Il n’y a que deux moyens pour connaître : observer et méditer. »

L’Homme, auto-propulsé au sommet de la chaîne alimentaire, a tendance à prendre les choses de haut. Or, le regard plongé vers le bas, l’Homme se retrouve limité à regarder l’écran de son téléphone portable, quand ce n’est pas simplement le bitume sous ses pieds.

En relevant la tête, ne serait-ce que de quelques degrés, des spectacles extraordinaires s’offriraient à nos yeux : ici, le regard d’un chien qui n’attend qu’un geste pour nous satisfaire ; là, la mère d’oisillons leur donnant la becquée dans leur nid ; au loin, ce serait un coucher de soleil se reflétant sur les cimes enneigées ; plus près, les lumières flamboyantes d’une ville en fête ; au-dessus de nous, le firmament étoilé.

Etes-vous prêt à prendre conscience du monde qui vous entoure ?

Education Canine

La plupart des gens qui adoptent un chien souhaitent créer un lien avec lui. Paradoxalement, la plupart des gens qui adoptent un chien pensent qu’un chien est fait pour obéir.

Il n’en est rien.

Le chien est doté d’un cerveau. Et de ce fait, le chien est doué de décision. Le mécanisme décisionnel est bien plus simple que le notre. Mais il a le mérite d’exister et nous ne pouvons pas l’ignorer.

Pour chaque chien, il faut trouver l’argument imparable qui fera pencher la balance de décision en faveur de l’ordre de son maître.

Parfois, il s’agit d’une friandise, parfois d’un moment de jeu, parfois d’une simple caresse ou d’une parole enjouée. Et les attentes du chien peuvent évoluer. Ce qui fonctionnait un jour, ne fonctionnera peut-être pas le lendemain.

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Photographie

Tous ceux qui ont eu la chance de pouvoir s’arrêter observer le monde merveilleux qui nous entoure se sont déjà sentis submergés par deux émotions, quasiment au même instant.

La première émotion est très personnelle. Elle fait écho à ce sentiment de fascination que l’observateur éprouve devant un spectacle visuel merveilleux : cela peut être de la joie, même de l’euphorie, de la mélancolie, de la tristesse. Tout notre corps est secoué, notre coeur s’emballe, nous ressentons ce que nous voyons et ce souvenir s’imprime dans notre mémoire après s’être imprimé sur notre rétine.

Encore sous le coup de l’adrénaline de cette émotion, l’observateur éprouve immédiatement un second besoin : celui de le partager avec les personnes douées de la même sensibilité que lui mais qui n’ont pas eu la chance d’assister à ce spectacle.

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Pierre Marlier

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